ECOS
ART . ÉCOLOGIE URBAINE . PRATIQUES DE VOISINAGE
Rencontre avec Dominique Leroy, plasticien, et Vianney Cottineau (paysagiste)
L'organisation Ecos a débuté en 2005, à la cité radieuse de Rezé, à l'initiative des habitants. Les 3 fondateurs principaux: Dominique Leroy, plasticien, Vianney Cottineau, paysagiste et Lilia Chaslerie, botaniste et animatrice jardin .
Ecos s'est d’abord développé sous la forme d'un camping urbain. Un lieu d'échange entre artistes, paysagistes, architectes, professionnels et amateurs .où la question de l'espace publique est abordée.
Les actions menées par Ecos constituent un ensemble de micro-projets, qui ne sont à première vus pas connectés, où il règne pourtant toujours la même volonté :
-valoriser les compétences de chaque participants
-le développement de liens sociaux
-la réappropriation de l'espace publique urbain par les habitants
Les actions menées par Ecos constituent un ensemble de micro-projets, qui ne sont à première vus pas connectés, où il règne pourtant toujours la même volonté :
-valoriser les compétences de chaque participants
-le développement de liens sociaux
-la réappropriation de l'espace publique urbain par les habitants
Leurs micro- projets ont été développés sur différents sites :
Rezé sur le parking d’Ecorev : atelier 106 semences.
Sur cet ancien terrain vague, une architecture légère en forme de dôme a été mise en place. C'est en fait une serre collective, produite durant un atelier participatif entre adhérent .
A travers ce projet, la question de l'auto-construction est abordée. En effet, des guides techniques sont mis à disposition des utilisateurs, afin qu'ils puissent reproduire la structure par leur propre moyens. C'est donc un projet évolutif.
La serre est constituée de modules triangulaires en bois recouvert de poliane.
Sur cet ancien terrain vague, une architecture légère en forme de dôme a été mise en place. C'est en fait une serre collective, produite durant un atelier participatif entre adhérent .
A travers ce projet, la question de l'auto-construction est abordée. En effet, des guides techniques sont mis à disposition des utilisateurs, afin qu'ils puissent reproduire la structure par leur propre moyens. C'est donc un projet évolutif.
La serre est constituée de modules triangulaires en bois recouvert de poliane.
Maison des confluences
Un atelier de lutherie «Bling» est organisé sont organisés régulièrement.
Ces ateliers créatifs ont pour but d'animer le jardin qui devient non plus un lieu de culture mais un véritable lieu de vie et d'échange.
Les instruments sont conçus par les adhérents,à partir d'objets de récupération.
Un atelier de lutherie «Bling» est organisé sont organisés régulièrement.
Ces ateliers créatifs ont pour but d'animer le jardin qui devient non plus un lieu de culture mais un véritable lieu de vie et d'échange.
Les instruments sont conçus par les adhérents,à partir d'objets de récupération.
Clos Toreau
Un potager en pied d'immeuble de 100 m² a été aménagé afin de revaloriser une ancienne friche.
Des bénévoles se relayent toutes les semaines pour entretenir le jardin collectif. La possession d'un jardin collectif entraine souvent une envie d'y créer son espace personnel et singulier : des créneaux de jardinage sont donc mis en place afin d'assurer le bon fonctionnement de la dimension collective du projet.
Ce projet, loin d'être une simple exploitation vivrière, est avant tout un travail sur la pratique même du jardinage. C'est un lieu d'apprentissage et de rencontre, où la démarche de jardinage prévaut sur la récolte.
On y trouve aussi bien des légumes que des fleurs. C'est un lieu d'activité pour les enfants du quartiers, ainsi qu'un lieu de réinsertion sociale, le jardin étant à proximité d'un foyer d'alcooliques :
des activités transdisciplinaires sont mises en place, telle que la création de typographie en saule par les enfants, ou de sac en chanvre par les anciens pour des plantations hors-sols.
Un potager en pied d'immeuble de 100 m² a été aménagé afin de revaloriser une ancienne friche.
Des bénévoles se relayent toutes les semaines pour entretenir le jardin collectif. La possession d'un jardin collectif entraine souvent une envie d'y créer son espace personnel et singulier : des créneaux de jardinage sont donc mis en place afin d'assurer le bon fonctionnement de la dimension collective du projet.
Ce projet, loin d'être une simple exploitation vivrière, est avant tout un travail sur la pratique même du jardinage. C'est un lieu d'apprentissage et de rencontre, où la démarche de jardinage prévaut sur la récolte.
On y trouve aussi bien des légumes que des fleurs. C'est un lieu d'activité pour les enfants du quartiers, ainsi qu'un lieu de réinsertion sociale, le jardin étant à proximité d'un foyer d'alcooliques :
des activités transdisciplinaires sont mises en place, telle que la création de typographie en saule par les enfants, ou de sac en chanvre par les anciens pour des plantations hors-sols.
Jardins partagés
Dans le cadre du projet Ecosphère, Ecos accompagne la création de jardins partagés sur les communes de Rezé. La mise à disposition de terrain par des particuliers permet de créer un réseau de jardins. Cette mise en réseau permet l’échange de savoir entre jardiniers. Un système d’échange de temps entre jardiniers, la mutualisation de matériel, des formations par des maîtres jardiniers, des visites de jardins sont envisagés pour améliorer le bon fonctionnement des jardins toute l’année .
Parfois, ce qui pousse les habitants à mettre à disposition leur parcelles de jardin, provient avant tout de problèmes financiers, et non pas d'une simple volonté de rencontre .
Ecos, bien qu'étant en activité constante et dynamique, est freinée par le manque de financement. Ainsi, nombreux de leurs projets reste à un stade expérimentale, et ne peuvent se développer à grande échelle.
Ecos a pour but de se développer dans toute la métropole.
Dans le cadre du projet Ecosphère, Ecos accompagne la création de jardins partagés sur les communes de Rezé. La mise à disposition de terrain par des particuliers permet de créer un réseau de jardins. Cette mise en réseau permet l’échange de savoir entre jardiniers. Un système d’échange de temps entre jardiniers, la mutualisation de matériel, des formations par des maîtres jardiniers, des visites de jardins sont envisagés pour améliorer le bon fonctionnement des jardins toute l’année .
Parfois, ce qui pousse les habitants à mettre à disposition leur parcelles de jardin, provient avant tout de problèmes financiers, et non pas d'une simple volonté de rencontre .
Ecos, bien qu'étant en activité constante et dynamique, est freinée par le manque de financement. Ainsi, nombreux de leurs projets reste à un stade expérimentale, et ne peuvent se développer à grande échelle.
Ecos a pour but de se développer dans toute la métropole.
Pour en savoir plus :http://www.ecosnantes.org/?page_id=317
Sarah
Violaine
Coline
Nandi
Lili
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